« Ma foi est le socle de toute mon écriture »
Après vous avoir amené à la rencontre D’Alan D. Nkoy, éditeur et CEO de la maison d’édition KINGDOM ÉDITIONS (https://kingdom-dna.com/), j’ai le plaisir, cette semaine, de vous faire découvrir Marie Gufflet.
Présente sur les réseaux sociaux, avec 13 romans publiés, Marie est une autrice dont j’apprécie beaucoup les écrits. C’était donc un immense honneur pour moi de l’avoir dans cette énième interview, AUTOUR DE LA PLUME.
J’espère que cette interview vous plaira, et surtout, qu’elle vous donnera envie de découvrir cette autrice à travers ses livres.
- Bonjour Marie, peux-tu brièvement te présenter pour les lecteurs qui ne te connaissent pas ?
- Tu as à ton actif 13 romans publiés, depuis quel âge écris-tu ? En quelle année as-tu publié ton premier roman ?
- Est-ce que l’écriture est ta principale activité ?
- Je remarque que tu es très présente sur les réseaux sociaux en plus de ton compte principal, tu gères aussi le compte Belle Comme Tu es, uncafeunverset. Comment t’organises-tu pour écrire de façon continue en plus de la gestion de ces différents comptes ?
- Quel est ton positionnement de romancière, comment te différencies-tu des autres ?
- En tant qu’autrice chrétienne de fiction, ta foi a-t-elle une influence sur tes productions littéraires ? Si oui, de quelle manière ?
- Je remarque que tu fais aussi bien de la fiction pour les non-chrétiens que de la fiction chrétienne, quelle est la différence entre ces deux productions dans tes écrits ?
- Tes productions littéraires en fiction à destination des non-chrétiens sont-elles aussi bien reçues par les chrétiens ?
- Parmi les 13 ouvrages que tu as publiés, quel est celui que tu préfères et pourquoi ? Quel est celui qui a été le coup de cœur des lecteurs ?
- Tu travailles actuellement sur un projet d’écriture, dont le titre est “mon cœur fleurira à Paris” de quoi s’agit-il ?
- Tes créations littéraires sont-elles purement le fruit de ton imagination ou c’est un mélange de fiction et de réalité ?
- Quel est ton rêve en tant qu’autrice ?
- Quels sont les deux auteurs qui t’ont le plus marqué ?
- Pour finir, plutôt thé ou café ?
- Plutôt roman d’amour avec une bonne dose de romance ou thriller vertigineux ?
Bonjour Marie, peux-tu brièvement te présenter pour les lecteurs qui ne te connaissent pas ?
Je suis Marie Gufflet, originaire de l’île de la Réunion. J’ai également vécu en Afrique du Sud pendant trois ans. Je suis une épouse mariée et mère de trois merveilleuses petites filles. Côté études, je suis titulaire d’un bac+2 en lettres modernes. J’ai fait divers métiers qui n’ont cessé de nourrir ma plume, entre autres dans l’esthétique, animatrice pour enfant, surveillante de lycée, conseillère et chargée de communication dans la médiathèque.
Tu as à ton actif 13 romans publiés, depuis quel âge écris-tu ? En quelle année as-tu publié ton premier roman ?
J’écris depuis toute petite, ma mère m’a versé dans la littérature. Elle parle avec des grands mots savants, et ça m’a toujours donné le goût pour l’écriture. À 15 et 16 ans, j’ai écrit mon premier livre que je trouve inexploitable aujourd’hui. Mon premier livre terminé, c’était entre 19 et 20 ans, bien que là encore ce n’était pas forcément publiable. C’est en 2013 que j’ai commencé à écrire de façon professionnelle. À partir de ce moment, je n’ai jamais cessé d’écrire et je me suis consacré à l’écriture.
Est-ce que l’écriture est ta principale activité ?
Oui, j’en ai vraiment fait mon métier depuis 2018. Le lundi, mardi et vendredi, je consacre ça à l’écriture et quand je parle écriture, il s’agit aussi des recherches, comment je vais créer mes personnages, etc. ça fait aussi partie du gros travail de fond d’écriture, je passe les trois journées là-dessus. L’autre activité que j’ai, c’est que je suis aussi relectrice et auteur pour le Top Chrétien, je fais des mises en ligne pour le Top Chrétien les jeudis.
Je remarque que tu es très présente sur les réseaux sociaux en plus de ton compte principal, tu gères aussi le compte Belle Comme Tu es, uncafeunverset. Comment t’organises-tu pour écrire de façon continue en plus de la gestion de ces différents comptes ?
J’essaie vraiment de me donner des priorités. Pour moi, la priorité des priorités, c’est la page d’auteure et la page uncafeunverset que j’ai ouvert récemment pour être plus cohérente dans ma communication. J’ai pris la décision, en effet, de faire trois comptes différents pour ne pas m’éparpiller et pour être vraiment efficace. Ma priorité, c’est l’écriture, pour les réseaux, j’essaie vraiment d’être dessus à des moments clés quand je n’ai pas les enfants entre midi et deux. Pour la création de contenu, je refuse que ça me prenne plus de trois heures par semaine parce que je dois écrire. Les réseaux, c’est très très chronophage.
Quel est ton positionnement de romancière, comment te différencies-tu des autres ?
C’est une très bonne question parce que, comme je suis chrétienne, c’est vrai que mon positionnement est un peu différent. C’est-à-dire, chez les chrétiens, à part toi et quelques rares personnes, il est très difficile de trouver des lecteurs très assidus de romans. Pourquoi je dis ça ? Parce que, premièrement, tous les chrétiens ne savent pas qu’il y a de bons romans chrétiens. Pour eux, c’est du grand n’importe quoi, c’est mal fait, c’est mal écrit, c’est très ennuyeux ; les gens ont tendance à partir sur des romans non chrétiens parce qu’ils se disent que c’est plus qualitatif. Chose que je comprends parce que je suis la première personne à réagir comme ça, d’où ma passion pour écrire des romans chrétiens.
Deuxièmement, par rapport aux non-chrétiens, j’avais des maisons d’éditions qui m’ont clairement dit : “ben oui, mais vos personnages ils sont chrétiens, ils ne couchent pas euh… Il n’y a pas de gros mots dedans… Ce n’est carrément pas dans la norme de la société d’aujourd’hui… ”
Donc, je me positionne, on va dire, un peu entre-deux, à mi-chemin chez les chrétiens, mais qu’au final comme ils ne savent pas que j’écris des romans chrétiens, il y en a qui n’achètent pas, surtout que je ne suis pas encore assez connu à ce niveau-là. Bien que dans le monde anglophone, c’est un genre littéraire (Christian fiction) qui marche énormément. J’aspire à ce qu’il y ait ce boom dans la littérature francophone chrétienne.
Je veux toucher les deux publics. Je désire être lue par des chrétiens et, eux, ils vont reconnaître si je fais des analogies, des allusions. Ils vont tout de suite le reconnaître et sentir s’il y a l’onction ou pas. Je veux être lue aussi par les non-chrétiens parce que c’est pour moi une façon de les amener au Seigneur, et s’ils cherchent plus à se rapprocher de Dieu, ils savent qu’il y a le côté spiritualité.
En tant qu’autrice chrétienne de fiction, ta foi a-t-elle une influence sur tes productions littéraires ? Si oui, de quelle manière ?
Oui, ma foi c’est le socle de mon écriture, je ne peux pas écrire sans passer un moment avec Dieu. Même s’il y a un côté romanesque dans ce que j’écris, même si je fais beaucoup beaucoup d’histoires d’amour parce que c’est ce que j’affectionne le plus, même si j’écris dans différents genres que ce soit fantasy ou romance, pour moi (la foi) c’est le socle de toute mon écriture parce que je veux vraiment montrer que Dieu est présent et existe, et que c’est Dieu qui permet que toute chose se fasse sur Terre.
C’est que même si l’histoire est romanesque, je vais quand même aborder le thème de la foi, parfois par petites doses, parfois, comme dans “J’ai gravi la montagne et touché le ciel”, à grandes grandes doses, donc voilà… Dans Secondes Chances, par exemple, j’en ai parlé, dans “Au milieu de l’échec j’ai trouvé le sentier vers le bonheur”, j’en ai parlé également… tout est une question après pour moi de dosage en fonction de ce que Dieu met sur mon cœur.
Je remarque que tu fais aussi bien de la fiction pour les non-chrétiens que de la fiction chrétienne, quelle est la différence entre ces deux productions dans tes écrits ?
Quand je veux parler uniquement à des chrétiens, je vais faire que le personnage, il va plus prier, je vais y aller franco, je vais plus parler de Dieu, plus aller en profondeur. Par exemple dans mon roman “j’ai gravi la montagne et toucher le ciel” j’ai fait un personnage Bérénice qui n’était pas du tout chrétienne et qui va rencontrer un garçon qui, lui, le sera et qui va petit à petit la ramener à Dieu. En ce moment là je vais parler plus de Dieu et vraiment me “lâcher”.
Quand je vise moins les chrétiens (je parle de toutes les façons de Dieu dans tous mes livres) par exemple dans au milieu de l’échec, je parle de Dieu mais à petites doses. Donc comme je te le disais tout est question de dosage mais je parle de Dieu partout. Je vais juste plus insister sur la foi et Dieu en fonction de la cible que je vais choisir, chrétien ou non chrétien.
Tes productions littéraires en fiction à destination des non-chrétiens sont-elles aussi bien reçues par les chrétiens ?
Alors, très très bonne question. On va dire oui, dans les deux sens.
J’ai des non-chrétiens qui m’ont lu et qui m’ont dit clairement Marie, je ne partage pas tes valeurs chrétiennes parce qu’ils savent que je suis chrétienne, et ils disent : franchement ta plume (et ce n’est pas pour me lancer des fleurs) ta plume, c’est une pépite, c’est un trésor, je me suis régalée… et là encore il y a quelqu’un sur Instagram, j’en parle parce qu’elle en parle, ce n’est pas un secret, elle a traversé un moment très douloureux de deuil et elle me disait que ce livre l’a beaucoup aidé dans cette période. Donc le public non-chrétien les reçoit, ces valeurs-là. Mais je pense que s’ils partent sur un roman où je parle beaucoup plus de Dieu, je pense que je vais les saouler, il faut aussi être honnête, parce qu’ils ne sont pas en phase et qu’ils n’ont pas envie, ça va peut-être les fatiguer. Pareil, j’ai une autre blogueuse avec qui j’ai travaillé, je ne crois pas qu’elle soit chrétienne, quand elle a lu “j’ai gravi la montagne et toucher le ciel” elle m’a avoué que ce n’était pas son coup de cœur, mais qu’elle avait beaucoup aimé ce côté spirituel.
Sans jeter la pierre, ça sera plus les chrétiens qui auront peut-être plus du mal à s’adapter quand je fais des romans moins spirituels. Après ça dépend, par exemple, j’ai une très très bonne amie qui m’a lu et qui a tout lu, et elle m’a dit qu’avec Libre, elle avait plus de mal parce qu’elle n’avait pas forcément senti l’onction, et je suis complètement d’accord avec elle, moi-même, avec le recul, pour moi, c’est un livre extrêmement bien écrit sur le plan intrigue, etc., mais en termes d’onction, j’avoue, je n’ai pas forcément cherché le cœur de Dieu dans ce livre-là.
Encore une fois, ça dépend de l’état du chrétien, de ce qu’il recherche. S’il cherche un livre pour prier, c’est sûr que certains des romans que j’écris, ce n’est pas le cas, mais après, encore une fois, ça dépend de la cible que je vise.
Parmi les 13 ouvrages que tu as publiés, quel est celui que tu préfères et pourquoi ? Quel est celui qui a été le coup de cœur des lecteurs ?
Alors le coup de cœur, on va dire, ça se joue à deux très très proches : « Secondes Chances » https://www.amazon.fr/Secondes-Chances-Marie-GUFFLET-ebook/dp/B07GMDM33L, un roman Young Adult mais qui a été lu par beaucoup d’adultes finalement, et qui a été vraiment adoré, et il est en côte à côte avec “Au milieu de l’échec, j’ai trouvé le sentier vers le bonheur”, celui-là il est beaucoup plus drôle, très profond au final avec un côté un peu développement personnel et il a vraiment été adoré… c’est les deux meilleures ventes, et c’est les deux préférés des lecteurs.
De mon côté, on va dire, c’est assez compliqué, c’est-à-dire que j’ai un gros coup de cœur pour « La Précieuse Ordinaire« (qui va sortir le 15 août-là) parce qu’en termes d’intrigue, de rebondissements, d’écriture, d’onction, je trouve qu’il est extrêmement bien travaillé. J’ai vraiment passé du temps, lorsque je l’ai écrit, à prier pour être sûre d’avoir de l’onction dedans tout en ayant un côté fantaisie. J’ai aussi un gros coup de cœur pour celui-là qui va sortir en décembre “mon cœur fleurira à paris”, où je trouve que l’intrigue est aussi très bien ficelée. Je trouve que ces deux-là sont super bien travaillés. Dans ceux qui sont sortis, celui que je préfère, c’est “au milieu de l’échec, j’ai trouvé le sentier vers le bonheur”https://www.amazon.fr/milieu-l%C3%A9chec-trouv%C3%A9-sentier-bonheur-ebook/dp/B084P9XBPJ.
Tu travailles actuellement sur un projet d’écriture, dont le titre est “mon cœur fleurira à Paris” de quoi s’agit-il ?
Il s’agit bien d’une romance et aussi d’un roman feel good, on va dire, parce que je voulais que ce soit drôle, mais en même temps (j’aime bien faire ça) je voulais que ça aborde des thématiques très profondes et très dramatiques.
« Mon cœur fleurira à Paris” qui va sortir en décembre, c’est pour moi un livre où j’ai vraiment voulu parler de sexualité avant le mariage pour en tirer des leçons et voir les dégâts que ça peut causer de faire l’amour hors mariage. Moi, j’ai attendu mon mariage, mais j’avais plutôt envie de montrer les méfaits qu’on peut avoir avant. Dans celui-là, j’ai parlé cru parce qu’il faut savoir se mettre à la place des autres et aussi parce qu’il fallait aborder tous les aspects, les dangers.
Tes créations littéraires sont-elles purement le fruit de ton imagination ou c’est un mélange de fiction et de réalité ?
Alors cette question, c’est vraiment un mélange des deux, c’est-à-dire que je vais puiser dans mon imagination pour tout ce qui est intrigue, pour tout ce qui est… ben par exemple, Madelyne dans « Fragile » https://www.amazon.fr/Fragile-Marie-Gufflet/dp/2322189448, elle doit fuire la Nouvelle France, ça, c’est dans mon imagination. Dans « Jamais Trop Tard« , je n’ai jamais été battu par mon père, c’est purement dans ma tête, j’ai toujours eu une bonne relation avec mes parents. Ce que je vis nourrit forcément ma plume, chaque roman a un parfum un petit peu particulier de ce que je vis.
Quand j’ai écrit “J’ai gravi la montagne et touché le ciel”, je me sentais à un moment de ma vie très seule, et Dieu me demandait d’aller sur la montagne pour toucher le ciel et le ramener dans ma plume. C’est pour ça que j’ai écrit ce roman-là parce que c’est vraiment ce que Dieu me demandait à moi, de gravir cette montagne-là pour toucher le ciel et avoir un changement dans ma propre vie.
C’est vraiment les deux, en fait. Mon quotidien, ce que je traverse, va toujours nourrir ma plume. Quand j’ai écrit par exemple Fragile, c’est un livre que j’ai écrit parce que les gens n’arrêtaient pas de me dire, dans mon entourage, à l’école : “Ah ! Marie, tu es trop fragile, tu pleures facilement, tu es trop sensible… ” En fait, j’en avais tellement marre que je me suis dit : “Quand je vais refermer ce livre, je veux voir ma fragilité comme une force et non plus comme une faiblesse.” C’est pour ça que j’ai écrit Fragile. L’histoire, c’est vraiment le fruit de mon imagination, mais je voulais que la réponse à cela soit cathartique pour moi… que les sentiments et les émotions que Madelyne a vécues, quelque part, c’est moi qui me suis projetée en elle.
Quel est ton rêve en tant qu’autrice ?
On va dire mes deux rêves en tant qu’autrice : le premier, c’est de vivre entièrement de ma plume. On va dire que j’ai commencé un petit chemin là-dedans où je commence tout juste à générer des revenus, mais pour l’instant ce sont des revenus qui me permettent de payer mes correcteurs. Donc mes revenus sont des investissements mais j’arrive pas à vivre réellement de ma plume, j’ai commencé, mais je dois réinjecter. Pour l’instant, mon rêve le plus cher, c’est ça, parce que pour écrire, il me faut du temps, il me faut de l’argent pour corriger… Je veux sortir de ce service-là et me dire au moins j’ai ma plume.
Le deuxième rêve, ça serait que les gens qui me lisent puissent me dire “Wow ! Grâce à tes romans, je me suis reconnectée à Dieu !” Certains l’ont déjà dit, mais j’aimerais que ce soit encore plus marqué. Et pourquoi pas ouvrir ensuite une école de création littéraire pour vraiment enseigner à grandes échelles ? Je fais des coachings personnels et j’ai une plateforme mais on va dire je voudrais vraiment le faire à grandes échelles, faire des conférences.
Quels sont les deux auteurs qui t’ont le plus marqué ?
J’ai un premier auteur, pas chrétien, Nicolas Barreau, j’aime beaucoup sa plume très douce, avec une bonne intrigue, et c’est un livre qui n’est pas chrétien, mais on peut lire sans se sentir, comme avec certains livres pas chrétiens, “oh mince ! il faut que je saute des pages parce qu’il y a des scènes, et il y a trop de gros mots” non, lui c’est free, au fait. C’est pourquoi, des fois, je me dis : “Est-ce qu’il ne serait pas chrétien ?”
L’autre autrice que je conseille, qui est chrétienne, mais là il faut lire en anglais, c’est Francine Rivers. Mais alors elle, ses livres, oh là là ! c’est des pépites ! Surtout Redeeming Love, qui a été adapté (que je n’ai pas encore vu) en film, alors ça, c’est pareil, mon Dieu ! C’est magnifique !
Pour finir, plutôt thé ou café ?
Alors je suis les deux. Je prends mon café le matin et, en général, j’ai un petit rituel, je prends mon thé, une petite pause thé à 14h.
Plutôt roman d’amour avec une bonne dose de romance ou thriller vertigineux ?
Alors non, je ne suis pas du tout thriller, j’ai horreur des livres qui font peur ou trop sanglants. Par contre, je regarde des séries thriller, je kiffe en fait. j’aime beaucoup parce que j’aime les rebondissements et l’intrigue, mais en livre, non, non, non. À part Musso, de temps en temps ça m’arrive de le lire, parce qu’il a toujours des rebondissements très farfelus. Mais d’ordinaire je prends des romans d’amour.
Merci, Marie pour cette interview, c’était un réel plaisir !
Propos recueillis et édités par Carlyne N.M.
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Chaine You Tube de Marie GUFFLET https://www.youtube.com/channel/UC5B_iDvII2DmFDGyHcprRDQ
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